carpediem 05/06/2006 10:34

let it be ! sans choix, point de liberté.... il faut apprendre à faire confiance à son guide intérieur, ce qui est parfois difficile, on a tous un coté un peu entêté à rester dans des mauvais choix...jusqu'au point où ça va craquer...

thezou@free.fr 04/06/2006 00:38

si je devais sauter je pense que je préférerais aussi le faire en couleur pour y voir clair une dernière fois, mais je n'ai pas envie de sauter, alors, je vois tes photos toutes les deux sont trés belles, alors tu as trés bien fait de les présenter toutes deux... un point c'est tout !
Comment tu vas ce soir ? je t'embrasse trés fort ! a bientôt !

Josie 03/06/2006 12:03

Je choisis la passerelle bleue, et je t'invite à m'accompagner ! grosses bises Marie-Claire ! Je m'avance peut-être, mais comme je ne sais pas je me base au com 9 et je te dis bon anniversaire !

P.C 03/06/2006 09:29

Bon anniversaire.

Dick Shaver 02/06/2006 18:39

Ces deux photos et la légende en-dessous cela pourrait faire une carte de Tarot. Le moment du choix, l'incertitude du choix.
 J'ai remarqué que souvent, plus on se concentre sur le choix à faire et plus on va vers une prise de position trop rationnelle, trop refléchie comme dit Grenouille Of B's. en regardant en arrière sur ma longue vie de vieux dinosaure, souvent lorsque j'ai fait un choix "réfléchi" "rationnel", "c'est la meilleure solution" ect... je me suis planté. Mes meilleurs choix étaient des choix instinctifs, peu réfléchis et à postériori il m'était difficile de retrouver le cheminement qui avait pu m'amener à ce choix. "Take it easy, take it as it comes" chantait Jim Morrison (non... pour une fois, je ne cite Gérard Lenorman)...

prune 02/06/2006 15:48

Marie claire,Moi qui adore panser les nénuphars au bord de l'étang,Je te rajoute à mes liens (tu veux bien ?)

bR. 02/06/2006 10:54

ouah, tes photos font réflechir les philosophes de l'étang, les panseuses de nénuphars,,,

Grenouille de Bénitier 02/06/2006 00:27

Pouvoir, savoir, vouloir... choisir. Dilemme. Lâcher prise, ne plus vouloir, ne plus savoir, et ne plus choisir. On peut le faire. Tout est dans le silence. On a tous au fond de nous quelque chose, quelqu'un qui sait, qui peut, qui veut et qui choisit sans même se poser de questions. Et pour le trouver, il suffit de se taire. Arrêter le flux des pensées qui traversent continuellement notre tête. C'est pas facile, mais c'est faisable. Il suffit de le vouloir. On retombe dans le dilemme : choisir.

Amadeus 01/06/2006 21:02

On peut même sauter quand on en a marre ^^ alors la couleur...

philippe charpentier 01/06/2006 20:00

Pourquoi toujours choisir! les passerelles s'empruntent dans les deux sens,on peut même voler au dessus ou nager en dessous!

prune 01/06/2006 18:40

pardon :  "joli monde" bleu

prune 01/06/2006 18:38

Si c'est la passerelle vers le joli "monde bleu"...alors je choisis sans hésiter...